Quand j'investis mon temps à co-créer du nouveau, il n'y a plus d'espace pour entrer dans les dualités, oppositions, ralentisseurs de tous ordres, silos humains, frontières (in)visibles et discours négatifs. Ces éléments disparaissent d'eux-même, fondent comme neige au soleil, ne trouvant plus d'écho.
L'imagination, l'inspiration et la joie sont alors le moteur, le carburant et l'élan du quotidien.
Le rapport au temps change totalement et la joie de se frayer un chemin et d'accompagner les collectifs à entrer dans ces failles émergentes est une sensation chaque fois renouvelée de gratitude. Celle de contribuer à rendre finalement visible ce monde communautaire, spiralé, connecté, apprenant, sensible et agile, dont nous avons tant parlé dans nos réseaux, et ce même dans les organisations.